La mort d’Onassis, qu’elle a accompagné jusqu’à ses derniers instants en 1975, l’enferme dans la solitude, et elle finira par s’isoler dans son appartement parisien, situé au 36 avenue Georges-Mandel, où elle passe son temps à écouter d’anciens enregistrements et à promener ses caniches selon un parcours quotidien : rue de la Pompe, rue de Longchamp et rue des Sablons. Sa tentative de suicide par somnifères témoigne de sa souffrance.  Éprouvée tant sur le plan physique que moral, elle alterne entre l’usage de barbituriques pour dormir et de stimulants durant la journée, prenant de la coramine pour ses baisses de tension. Elle décède le 16 septembre 1977 d’une embolie pulmonaire à l’âge de 53 ans. Des comprimés de Mandrax, un hypnotique, sont retrouvés sur sa table de chevet, suggérant une possible overdose accidentelle.